mardi 21 avril 2015

Le Temps ne fait rien à l'Affaire / Georges Brassens


Le Temps ne Fait Rien a  L'Affaire par popefucker

Le con.

Vous connaissez mon amour pour le con, j'en avais parlé ici

Le con, mine de rien, est une infinie source d'inspiration, peut égayer vos journées (ou les rendre bien affreuses aussi, c'est vrai) et surtout est réconfortant tant il vous rassure sur vos propres capacités mentales.

Alors forcément, quand j'en croise un, la crainte se mêle à l'espoir.

La crainte de finir énervé (limite ballonné à la fin de la journée) et l'espoir de voir mon égo regonflé.

La semaine dernière, j'en ai croisé un. Un bon. Un de de compète.

Le genre de con qui, pauvre de lui, ne se rend absolument pas compte qu'il l'est mais qui en plus, pauvre de nous, se sent obliger de partager son avis, parce que lui, il sait mieux que les autres vu que les autres sont tous des cons.

Le genre à traiter tous les autres de cons, ces cons.

Mais surtout le genre à se servir de chaque opportunité possible et imaginable pour expliquer pour il a raison, lui et les autres sont des cons, quitte à en oublier les règles de bases de la logique dans un échange verbal.

La preuve:

La conversation qui suit à donc été réalisée sans trucages.

Eloignez les enfants, le contenu peut choquer.

Moi: "C'est horrible, à La Réunion, un môme qui s'est fait attaquer par un requin. Ils ont vraiment un problème là-bas, ça craint."

Lui: "Oui, enfin, ce qui craint surtout c'est que là-bas, tu es entouré de bamboulas et au bout d'un moment, ça gonfle."

Alors que je m'apprêtais à sottement demander par quel cheminement biscornu sa pensée avait pu aller de la case "attaques de requins, c'est horrible" à "entourés de bamboulas, ça gonfle" comme ça, direct, sans passer par la case "attention, je risque de dire une connerie" et finalement, j'ai répondu un truc plus simple...




jeudi 16 avril 2015

La Chanson du Jour Hors-Série: Spéciale Star Wars (oui, je sais) et John Williams

Il y a bien longtemps, sur une petite planète bleue...

En 1977, un jeune cinéaste américain, barbu et portant des lunettes sortait un petit film de science-fiction.

Un film d'honneur et de loyauté, de courage, de batailles spatiales, de droïdes, de vaisseaux et avec l'objet le plus cool de l'univers connu, jusqu'à la bordure extérieure: Le Sabre-Laser.

Un film qui va déferler comme un raz-de-marée, pulvérisant l'idée même que l'on avait à l'époque quand on parlait de "film de science-fiction", redessinant pour toujours la politique des studios hollywoodiens et de l'entertainment.

George Lucas aurait pu créer une nouvelle religion sans problème tellement le culte voué à ses 6 3 films est fort.

Mais si les films sont forts, le son l'est encore plus.

Un compositeur. Un maître. Un Jedi.

John Williams. Derrière (presque) toutes les musiques cultes que vous adorez siffloter dans le métro ou que vous entendez toutes les 20 minutes dans un reportage à la télévision:
Les Dents de la Mer, ET, Jurassic Park, Superman, Harry Potter, l'investiture de Barack Obama, 3 cérémonies des Jeux Olympiques, Indiana Jones ou encore Né un 4 juillet. Je vous invite à consulter sa page Wikipédia ici, elle est ahurissante. Mozart, va te cacher.

Une saga qui, 37 ans après, continue de faire rêver les mômes du monde entier et est solidement ancrée dans l'inconscient collectif mondial. Avec sa musique.

Je vais donc vous proposer mon top 5 des musiques de cette saga-phénomène, histoire de se rappeler qu'en Décembre, il y aura des images, des sabres, des vaisseaux, de l'honneur, de la loyauté, une princesse, des batailles spatiales, des droïdes.

Et de la musique...

Numéro 5: 

Love Theme / Episode II - Attack of the Clones

Un amour impossible, une situation désespérée, des sabres-lasers, la mort, la violence mais aussi l'espoir.


Numéro 4

Battle of Endor / Episode VI - Return of the Jedi

Une bataille spatiale, des vaisseaux spatiaux, donc, de la loyauté, un piège, des explosions, la mort, la destruction et la victoire.



Numéro 3:

Battle of Heroes / Episode III - Revenge of the Siths

Un duel à mort, des larmes, de la souffrance, de la peine, de la haine, des sabres-lasers, encore et finalement, le côté obscur...


Numéro 2: 

Duel of the Fates / Episode I - The Phantom Menace

La sauvagerie, la violence, le Sith et la mort.
(cherchez pas, c'est ce qu'il y a de mieux dans Episode I. Limite, c'est un film qu'il vaut mieux écouter que voir.)


Numéro 1:

Binary Sunsets / Episode IV - A New Hope

Parce que quand viendra l'heure de la fin, que je serai arrivé au bout, ceci est certainement une des dernières choses que je voudrai entendre, paisiblement, avant de finalement m'endormir pour commencer un autre voyage.






































Et le teaser qui donne des frissons et dresse les poils, c'est là...